AAZ, société sœur de Nephrotek, fabricante de l’autotest VIH®, a réorienté ses activités ces trois derniers mois en raison de l’urgence sanitaire COVID-19.

Ils proposent les 3 offres de dépistage COVID-19 suivantes :

1/ Le test rapide (TROD) COVID-PRESTO® IgG/IgM marqueur de l’immunité vis-à-vis du SARS-CoV-2

Le test rapide COVID-PRESTO® IgG/IgM est marqué CE par AAZ. Vous trouverez, en document annexe, sa notice d’utilisation.

2/ Le réactif PRESTO®-2019nCoV et le Thermocycleur qPCR associé Hummingbird qui sont marqués CE, viennent d’être évalués et validés par le laboratoire de virologie de l’hôpital Bichat Claude Bernard (Rapport d’évaluation en document annexe).

3/ En cas de besoin de dépistage de gros volumes, AAZ propose également le test virellaSARS-CoV-2 seqc RT-PCR

 

Vous avez été nombreux ces derniers jours à faire part de votre motivation pour vous impliquer au centre d’appel 110 ou de votre disponibilité pour une action solidaire en faveur de la lutte contre le VIH/sida. Comme vous le savez, en raison du contexte sanitaire actuel, l’édition 2020 de Sidaction a été solidairement annulée. Par conséquent, l’opération de collecte, d’information et de sensibilisation qui était prévue les 2, 3, 4 et 5 avril prochains n’aura donc pas lieu.

Rendez-vous sera pris très prochainement pour nous retrouver à nouveau tous unis contre le VIH/sida. Nous ne manquerons pas, à cette future occasion, de faire appel à votre générosité.

Pour l’heure, toute notre énergie doit être concentrée pour gagner la bataille contre cet autre virus.

Solidairement,

L’équipe Sidaction

Dans le cadre d’un mémoire de sexologie à l’université Paris Descartes , Docteure Noémie DURIEZ vous remercie de répondre à ce questionnaire sur le plaisir féminin. Il ne vous prendra que 5 minutes. Ce questionnaire, totalement anonyme. Les données récoltées resteront évidemment confidentielles.

 

https://www.sondageonline.fr/s/Plaisirfeminin

Le CNS (Conseil national du sida et des hépatites virales) a engagé une réflexion visant à identifier les principales faiblesses de l’action publique en matière de dépistage du VIH. Dans une note valant avis publiée à l’approche de la journée mondiale de lutte contre le sida, le Conseil propose plusieurs orientations dont l’objectif est de mieux adapter les politiques de dépistage aux besoins des personnes les plus exposées.

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Dépistage 0 391 downloads

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A l’occasion du 1er Décembre, journée mondiale de lutte contre le Sida, nous nous rassemblerons avec plusieurs associations engagées dans la lutte contre le VIH (liste non exhaustive : Acceptess-T, Act Up, Action Traitement, Afrique Avenir, Afrique Arc En Ciel, AIDES, Arcat/kiosque, Aremedia, Basiliade, CRIPS, Les Petits Bonheurs, l’Inter-LGBT, Les petits Bonheurs, Séropotes, SolEnSi).,dans un village santé et prévention parisien, place de la République, De 12h à 16h,

Nous avons le plaisir de vous convier à venir nous rencontrer et échanger sur les enjeux de la lutte contre le VIH et de l’engagement en santé communautaire aujourd’hui à Paris mais aussi sur les solutions et initiatives qui sont aujourd’hui mises en place.

Cette initiative inclura des animations et des temps d’échange afin de sensibiliser le public aux outils de prévention ainsi qu’aux discriminations et freins dans l’accès aux droits et aux soins que rencontrent encore les personnes avec qui nos associations travaillent au quotidien.

PrEp, Tasp, Sérophobie, la situation du public LGBTQI+, le dépistage, l’accès aux soins, les usagers de drogue, la Trans-Identité…. de nombreux thèmes seront abordés.

Groupe de parole ; Atelier pour construire un bon CV ; Rendez-vous avec des spécialistes pour vos problèmes de santé… C’est le mois de novembre au Comité des familles, n’hésite pas à nous rejoindre !

Atelier pôle qualité de vie – Jeudi 14 novembre à 19h, venez participer à notre atelier pôle qualité de vie, en partenariat avec l’association Actions Traitements, vous êtes invités à la rencontre
« Proctologie » avec le Dr Abramovitz.

Ateliers ETP Dans le cadre de notre projet d’ Education thérapeutique du patient (ETP),venez profiter de la musicothérapie et des autres nombreux atelier, comme « l’arrêt du tabac » mercredi 20 novembre à 16h.

Les assemblées des familles – Tous les jeudis à 19h, rendez-vous au 18, rue de la Mare 75020 Paris, pour les assemblées des familles, un moment convivial, ouvert à la discussion et au partage.

Repas de l’amitié – Samedi 23 novembre à 12h, venez partager vos idées, vos passions et un bon repas à notre repas de l’amitié, suivi d’un groupe de travail sur le témoignage !
…et beaucoup d’autres choses encore : le repas partagé à l’hôpital, les tickets pour un concert ou du théâtre, l’écoute de l’émission de radio, la musculation, le yoga, la natation…

L’association Les Séropotes initie une enquête soutenue par le COREVIH Ile de France sud « Expériences de vie des personnes séropositives » , qui cherche à connaître les parcours et conditions de vie des personnes vivant avec le VIH, en France ou sur un territoire d’outre-mer.
Pour répondre en ligne: viespositives.org
Pour répondre sur rendez-vous (Paris) : etude@viespositives.org ou au 01 41 83 42 91
Vous avez jusqu’au 31 octobre 2019

« Peut-on mettre fin au VIH/SIDA d’ici 2030 ? »  Invitation Entrée gratuite – Ouverte à toutes et tous
Le jeudi 26 septembre, de 14h00 à 16h00 CHU Henri Mondor, espace Nelly Rotman

Chaque pas est décisif pour en finir avec le SIDA !
Avec les interventions de :
Pr Jean-Daniel LELIEVRE, chef de service  » Immunologie clinique et maladies infectieuses « , CHU Mondor
Jean-François MBAYE, député du val-de-Marne et président du Groupe d’études Sida à l’Assemblée nationale
Florence THUNE, directrice générale de Sidaction
Jean SPIRI, président du Crips Île-de-France

5ème Journée Internationale de Santé sexuelle et Droits Humains de la Chaire UNESCO :  Vendredi 13 septembre 2019 de 9H à 17H30Les nouveaux enjeux de l’éducation à la santé sexuelle”

Grand rendez-vous annuel sur le thème “Les nouveaux enjeux de l’éducation à la santé sexuelle pour 2030”. «Enjeux et place de la spiritualité et de l’éthique dans l’éducation à la santé sexuelle»

La satisfaction de la sexualité est l’un des objectifs du bien-être en santé sexuelle, elle associe plaisir et désir. Le plaisir et le désir relient les dimensions physiques, émotionnelles, sociales et mentales. Ces dimensions de l’intime et du privé, qui structurent l’individu, sont aussi directement sous l’influence des politiques sociales et des orientations spirituelles au sens le plus large, des peuples. Les dimensions éducatives, prenant en compte l’environnement, sont au premier plan pour une éducation positive et globale et seront celles que nous aborderons au cours de cette journée.

Les interprétations des religions, des symboles et des mythes restent une base incontournable pour élargir notre vision des aspects spirituels et éthiques dans l’éducation à la santé sexuelle.

L’épidémie du VIH immédiatement associé au sexe, au sang et à la mort, a ouvert un débat également philosophique sur les liens entre santé sexuelle individuelle et santé publique. De même que la persistance des grossesses non désirées pose la question à la fois du désir inconscient de l’enfant et du sens procréatif de l’acte sexuel, la prévention des violences sexuelles et celles faites aux femmes, s’appuient sur une éthique qui nous oblige à mettre en perspective les enjeux de la spiritualité dans l’éducation ainsi que les interactions entre profane et sacré.

Ce colloque abordera 4 thématiques :
1 – L’éducation à la santé sexuelle entre les sphères publiques et privées
2 – Education à la santé sexuelle : une éducation entre profane et sacrée
3 – Ethique et morale : leurs rôles dans l’éducation à la santé sexuelle
4 – Les enjeux de la spiritualité dans l’éducation à la santé sexuelle

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>> Les inscriptions (OBLIGATOIRES) sont au tarif de 60 €. C’est par ICI

Coordonnateurs du cycle de conférences : Joëlle Mignot et Thierry Troussier
Journée animée par Mme Virginie Larousse, Directrice éditoriale du Monde des Religions

Lieu du Colloque :
Ministère des Solidarités et de la Santé
14, avenue Duquesne – 75007 Paris – Salle Laroque

Cette étude de l’ANRS avait pour principal objectif d’évaluer la non-infériorité à 48 semaines d’une stratégie de prise du traitement ARV sur 4 jours consécutifs sur 7 versus une prise en continu 7 jours sur 7 chez des patients en succès virologique sous traitement (CV < 50 copies/mL depuis au moins 4 mois, sans modification du traitement). Il s’agit d’un essai de phase III ouvert, multicentrique, prospectif, randomisé en deux groupes parallèles avec une borne de non-infériorité de 5 %.

La randomisation a été stratifiée selon la famille du 3ème agent en cours au moment de la pré-inclusion (INI, IP, INNTI) et un minimum de 200 participants devait être sous INI pour garantir une puissance suffisante pour évaluer l’efficacité de cette stratégie dans cette population de patients (640 patients prévus, 320 par bras). A partir de S48 et dès confirmation de l’indétectabilité, les patients dans le bras 7/7 en succès virologique intégraient la stratégie d’allègement 4/7.

Les résultats très attendus par les spécialistes français au vu du nombre de centres participants ont été présentés à l’IAS (lien avec zoom du jour). Les caractéristiques des patients à l’inclusion étaient comparables entre les deux bras : 49 ans d’âge moyen, 78,3 % d’origine européenne, 67,1 % d’HSH, 6,9 ans en moyenne de durée de traitement antirétroviral et un nadir de CD4 à 298 cellules/mm3. Plus des deux tiers (72,6 %) recevaient du TDF-TAF/FTC à l’inclusion et le 3e agent était un INI (47,8 %) ou un INNTI (46,5 %), les IP étant très minoritaires (5,7 %). Les résultats sur le critère principal confirment la non infériorité du 4 J/7. Peu d’échecs virologiques : 6 versus 4 dans le bras 7J/7, mais 3 versus 1 chez les patients où le 3e agent était un INI, ce qui ne manquera pas d’alimenter les discussions …

Les autres analyses de sous-groupe ne montrent pas de différence statistiquement significative selon le nadir de CD4, la durée de l’indétectabilité, la notion d’échec virologique antérieur ou de ratio CD4/CD8.

Des analyses complémentaires prévues au protocole de l’étude sont en cours : suivi à long terme (S96) / analyses des marqueurs inflammatoires plasmatiques, intra-cellulaires, cheveux (PK), CV séminale, virémie résiduelle et ADN VIH total, sans oublier la compliance au traitement et les analyses de qualité de vie. Il n’y avait pas de différence significative entre les deux bras sur la tolérance.

Pari gagné donc pour l’étude QUATUOR qui était une des études très attendues à cet IAS mais de nombreuses questions persistent à l’issue de la présentation …

D’après Landman R et al., abstr. WEABO406LB, actualisé