En 2018, nous avons donné le coup d’envoi du premier réseau de santé sexuelle d’Ile-de-France, en 2019 nous vous proposons de continuer le travail initié.

La 2e journée du RSSP aura lieu le :

Samedi 22 juin 2019 de 9h00 à 17h00 à la Mairie de Paris (4 rue de Lobau Paris 4e – Auditorium)

Cette journée sera l’occasion de mettre en avant les expériences innovantes en santé sexuelle dans le secteur public, de croiser les expériences et les points de vue, d’échanger sur les bonnes pratiques, de s’informer sur les dernières actualités. Le Professeur Jérôme Salomon, Directeur Général de la Santé, nous fera l’honneur d’ouvrir cette session de travail et d’échanges.

Vous pouvez trouver ci-joint le programme détaillé de cette journée. Nous vous invitons à nous faire part de votre présence dès à présent en remplissant ce formulaire ICI.

Nous serons heureux de vous y retrouver nombreuses et nombreux. 

Programme

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Programme 0 101 downloads

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SEXOLOGIE PUBLIQUE ?
2e JOURNÉE DU RÉSEAU SANTÉ SEXUELLE PUBLIQUE
Samedi 22 juin 2019, auditorium de la Mairie de Paris
En présence du Pr Jérôme Salomon – Directeur général de la santé

09:00 ACCUEIL DES PARTICIPANT.E.S

09:15
INTRODUCTION

Eve Plenel – Directrice de « Vers Paris Sans Sida »
Axelle Romby – Secrétaire du RSSP

09:30
PROMOTION DE LA SANTÉ SEXUELLE

Modérateur: Gonzague de Larocque-Latour – Président du RSSP

La santé sexuelle dans la promotion de la santé
Jérôme Salomon – Directeur Général de la Santé

Expérience du centre de santé sexuelle Paris centre
Sophie Florence – Responsable du Centre de Santé Sexuelle d’Hôtel Dieu, Paris (75)

La sexologie dans la stratégie: « Lieu de santé promoteur de santé »
Anne Borgne – Présidente du Réseau de prévention des addictions (Respadd), Paris (75)

10:30 QUESTIONS / DISCUSSION
11:00 PAUSE

11:30
UNE APPROCHE POPULATIONNELLE
Modérateur: Philippe Ostmesguine – Médecin sexologue, HEGP, Paris (75)

La sexualité à l’épreuve du parcours de préservation de fertilité: les situations de transidentités
Nicolas Mendes – Psychologue, Hôpital Jean Verdier, Bondy (93)
La santé sexuelle des personnes vivant avec le VIH: de l’éducation thérapeutique à la sexologie
Marie Rouvrais – IDE sexologue, Beaujon (92)
La santé sexuelle des migrant.e.s
Aurore Billebeau – Gynécologue médicale, CHI Villeneuve- St-Georges (94)
Femmes excisées, femmes issues des quartiers populaires
Gwenaël Domenech-Dorca – Psychologue sexologue, CeGIDD Bichat (75)
Alice Rocq – Sage-femme sexologue, Maison de Quartier Ivry-Port (94)

12:15 QUESTIONS / DISCUSSION
12:45 DÉJEUNER / AG DU RSSP

14:15 UNE APPROCHE INSTITUTIONNELLE
Modérateur: David Friboulet – Psychothérapeute sexologue – Institut Alfred Fournier, Paris (75)
Les sexologues dans les CeGIDD (Centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic): Etats des lieux
Ludiwine Sabalot – Psychologue, CEGIDD Bobigny (93)
Sexologie en CPEF (Centre de planification et d’éducation familiale)
Anne Marie Dauvin – Conseillère conjugal, sexologue, CPEF, Clichy (92) / CMS Ridder Marie Claire Boussac – Infirmière, CPEF, Levallois Perret (92) Laura Marin Marin – Médecin, CPPEF / CIVG, Paris (75)
Violences sexuelles: apport de la sexologie dans les Centres ressources et d’Information pour les Auteurs de Violences Sexuels (CRIAVS)
Alice Chenu – psychologue sexologue, CRIAVS Ile-de- France (94)

15:00 QUESTIONS / DISCUSSION

15:30 CONSTRUIRE LES PARCOURS DE SOIN EN SANTÉ SEXUELLE
Modérateur: Claude Giordanella – Association Charonne – IDE sexologue, CeGIDD CHI Créteil (94)
Nécessité d’une formations en santé sexuelle pour les bénévoles des associations de patients vivant avec le VIH: exemple du comité des Familles Bruno Perrine – Comité des familles
Repérage précoce et intervention brève (RPIB) en santé sexuelle
Nicolas Bonnet, directeur du RESPADD, Paris (75)
L’avenir de la sexologie publique: extension nationale du RSSP
Gonzague de Larocque-Latour – Médecin sexologue – CSAPA 92

16:15 QUESTIONS / DISCUSSION

16:45 CONCLUSION
Emilie Moreau – Vice présidente du RSSP

 

 

Un mois à l’insigne de la convivialité, avec une soirée d’entraide vendredi 10 mai 2019 à 19h et le repas de l’amitié le 25 mai à 12h ! N’hésitez pas à nous contacter pour vous renseigner ou vous inscrire : 01 40 40 90 25 – contact@comitedesfamilles.net – 18 rue de la Mare 75020 Paris –
www.comitedesfamilles.net

Atelier pôle qualité de vie
Jeudi 16 avril 2019 à 19h, nous vous proposons une rencontre avec le dr Ghada Hatem directrice de la maison des femmes de Saint-Denis : excision, parlons-en.

Atelier nutrition
Dans le cadre de notre projet Education thérapeutique du patient (ETP), le 22 mai 2019 à 18h30 se déroulera l’atelier « Bien vivre, mieux manger » avec Ilaria Ben-Amor nutritionniste, et intervenante ETP.

Les assemblées des familles Tous les jeudis à 19h, rendezvous au 18, rue de la Mare 75020 Paris, pour les assemblées des familles, un moment convivial, ouvert à la discussion et au partage.
……………
Chorba et sorties culturelles
Repas partagé à l’hôpital, ticket pour un concert ou le théâtre, groupe de travail sur les témoignages : venez découvrir toutes les possibilités de rencontre et d’activités proposées au Comité des familles !
…et beaucoup d’autres choses encore, l’écoute de l’émission radio, la musculation, le yoga, la natation…

 

L’institut Alfred Fournier vous propose de participer à des Ateliers collectifs entre personnes séropositives d’orientation Hétérosexuelle*
au cours de 6 soirées centrées sur votre vie affective et sexuelle, l’estime de soi et votre séropositivité 1er soirée le 15 mai 2019 de 18h30 à 21h
L’intégration au groupe n’est possible que jusqu’au 2e atelier  Ça vous tente ? Êtes-vous libre les 6 mercredis suivants ?

Atelier 1 Atelier 2 Atelier 3 Atelier 4 Atelier 5 Atelier 6
15 Mai 22 Mai 5 Juin 12 Juin 19 Juin 26 Juin

Si oui, merci de prendre rendez-vous pour un entretien préalable  au 01 40 78 26 00  avec Louise, patiente ressource  ou David Friboulet, coordinateur des ateliers. La participation à ces ateliers est gratuite  grâce au soutien du Sidaction et de l’Agence régionale de santé

* le prochain cycle d’ateliers sera consacré aux personnes d’orientation homosexuelle

Institut Alfred Fournier, 25 bd Saint-Jacques, 75014 PARIS
Métro ligne 6 : Saint-Jacques ou Glacière – RER ligne B : Denfert-Rochereau

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Le Président Emmanuel Macron a décidé d’accueillir en France, en 2019, la conférence du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme dont l’objectif est de récolter de nouveaux fonds et de mobiliser le plus grand nombre d’acteurs possibles pour mieux prévenir et éradiquer ces pandémies.

Depuis sa création en 2002, le Fonds mondial a obtenu des résultats exceptionnels. Il a permis, grâce à ses actions, d’éviter le décès de plus de 22 millions de personnes, d’offrir l’accès aux traitements antirétroviraux contre le VIH/sida à 11 millions de patients et un traitement contre la tuberculose à 18 millions d’hommes et de femmes.

Lire le communiqué de l’Elysée. : 

Le Président Emmanuel Macron a décidé d’accueillir en France, en 2019, la conférence du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme dont l’objectif est de récolter de nouveaux fonds et de mobiliser le plus grand nombre d’acteurs possibles pour mieux prévenir et éradiquer ces pandémies.

Depuis sa création en 2002, le Fonds mondial a obtenu des résultats exceptionnels. Il a permis, grâce à ses actions, d’éviter le décès de plus de 22 millions de personnes, d’offrir l’accès aux traitements antirétroviraux contre le VIH/sida à 11 millions de patients et un traitement contre la tuberculose à 18 millions d’hommes et de femmes.

Ces maladies, et les risques d’épidémies émergentes, continuent malheureusement de représenter un défi majeur pour la santé mondiale, aux conséquences humaines et économiques dramatiques, en particulier dans les pays les plus fragiles. En 2016, elles ont encore causé le décès de plus de 3 millions de personnes. Il est donc essentiel que la communauté internationale ne relâche pas ses efforts et reste mobilisée au plus haut niveau.

C’est la raison pour laquelle le Président de la République a souhaité accueillir la sixième Conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial. Cette Conférence doit permettre de recueillir des financements pour la période 2020-2022 grâce à la mobilisation de l’ensemble de la communauté internationale et du secteur privé. Elle sera une opportunité exceptionnelle de promouvoir les enjeux de santé sur la scène mondiale en insistant sur l’éducation et la prévention, la couverture universelle des besoins de soins primaires. Elle permettra de progresser vers l’objectif d’une élimination du sida, de la tuberculose et du paludisme comme menaces à la santé publique d’ici 2030, comme de nombreux pays, dont la France, s’y sont engagés à travers les objectifs de développement durable.

Ce sera la 1ère fois que la France, qui a participé à la création de ce Fonds et en est le 2ème contributeur avec plus de 4,2Mds de dons depuis 2002, hébergera cette importante conférence de financement. La décision du chef de l’Etat s’inscrit dans le contexte de la relance de la politique de solidarité de la France et de la décision de faire de la santé, de l’éducation et de l’égalité entre les femmes et les hommes, les grandes priorités de l’engagement français dans le monde.

Site du Fonds mondial : https://www.theglobalfund.org

Le jeudi 29 novembre 2018 , l’UPEC et ses partenaires, le labex VRI et l’Inserm, organisent une journée de lutte contre le Sida à Créteil. Dépistage rapide, exposition sur la prévention et conférence-débat sur le VIH sont au programme tout au long de la journée.

En parallèle de la 30e édition de la Journée mondiale de lutte contre le Sida qui aura lieu le 1er décembre, l’UPEC organise avec le labex VRI et l’Inserm une journée dédiée à la lutte contre le Sida sur le Campus centre et le Campus André Boulle à Créteil.

Au programme : dépistage gratuit et anonyme « 1 minute pour savoir » sur le Campus centre, exposition « La prévention trentenaire : la lutte contre le Sida et la sérophobie des années 80 à aujourd’hui » pendant 2 semaines à André Boulle et Henri Mondor, et conférence-débat sur le thème « VIH : où en est la recherche vaccinale ? » de 17h à 19h sur le Campus André Boulle.

Conférence-débat « VIH : Où en est la recherche vaccinale ? »
En partenariat avec le VRI et l’Inserm, l’UPEC organise une conférence-débat de 17h à 19h sur le Campus André Boulle sur le thème du VIH et de la recherche vaccinale. La médiation sera assurée par Laurent Cavicchioli du site The Conversation.

Programme de la conférence
I. Etat des lieux de la recherche clinique vaccinale contre le VIH – Jean-Daniel Lelièvre (Vaccine Research Institute)
II. Recrutement et engagement de « volontaires » dans des essais cliniques – Caroline Ollivier-Yaniv (Ceditec, Vaccine Research Institute)
III. Vaccinations et défiances – Annick Opinel (Institut Pasteur)
IV. Table ronde avec les intervenant.e.s et des représentant.e.s d’associations étudiantes de l’UPEC
> Entrée libre avec inscription en ligne
> Plus d’informations sur la conférence

Dépistage rapide « 1 minute pour savoir »
L’association HF Prévention proposera un dépistage rapide sur le Campus centre de 10h à 17h. Cette association de prévention santé organise ses actions autour de deux grands axes, la prévention et le dépistage.
N’hésitez pas à venir effectuer votre test gratuitement et dans l’anonymat !

> Plus d’informations sur le dépistage

Exposition « La prévention trentenaire : la lutte contre le Sida et la sérophobie des années 80 à aujourd’hui »
En partenariat avec le Crips Île-de-France (Centre régional d’information et de prévention du sida et pour la santé des jeunes), l’UPEC présentera une exposition de photos sur le thème de la prévention et de l’histoire de la lutte contre la Sida depuis les années 80.

Campus André Boulle : du 26 au 30 novembre 2018
Campus Henri Mondor : du 3 au 7 décembre 2018

Partenaires : Inserm

A l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA, l’Inserm organise en IDF 4 rencontres pour les lycéens et le grand public du 28 novembre au 1er décembre 2018. Recherche fondamentale, translationnelle, en santé publique ou encore clinique… la communauté des chercheurs à l’Inserm s’engage chaque jour. Vous découvrirez lors de ces 4 moments d’échanges seulement un échantillon des centaines de travaux et d’études en cours dans les équipes scientifiques !

Mercredi 28 novembre 2018 à 17h – Institut Cochin – Paris 14e
« VIH : a-t-on trouvé le mode d’emploi ? » – rencontre « recherche fondamentale » pour lycéens sur inscription
Avec les chercheur-es de l’Institut Cochin (Inserm/CNRS/Université Paris Descartes) soutenus par l’ANRS

Jeudi 29 novembre 2018 à 17h – Université de Créteil
« VIH : où en est la recherche vaccinale ? » – rencontre « recherche translationnelle » tout public
Avec les chercheur-es du VRI – Institut de Recherche Vaccinale (VRI-ANRS/UPEC)

Vendredi 30 novembre 2018 à 18h – médiathèque Elsa-Triolet de Villejuif
« Vivre avec le VIH : quelles stratégies de santé publique ? – rencontre « recherche épidémiologique » tout public
Avec les chercheures du Centre de recherche en Epidémiologie et Santé Publique – CESP (Inserm/Université Paris Sud)

Samedi 1er décembre 2018 à 16h30 – médiathèque de Bagnolet
« Se protéger du SIDA : que penser du traitement préventif PrEP ? » – rencontre « recherche clinique » tout public
Avec les chercheur-es et médecins impliqués dans l’étude ANRS-Prévenir

Contact : communication.idf@inserm.fr

Le programme « le point sur la recherche contre le SIDA » est organisé avec le soutien de l’ANRS, l’association Aides, l’Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne, la Mairie de Villejuif, la Ville de Bagnolet et avec la participation des laboratoires Institut Cochin, VRI, CESP et IUH/service d’infectiologie de l’Hôpital Saint Louis.

Journée d’échanges – vendredi 14 décembre 2018 – FIAP Jean Monnet, 30 rue Cabanis, 75014 Paris – Salle Oslo.

De longue date, les trans se sont engagé.e.s contre le sida et leur mobilisation est toujours vivace. A l’échelle internationale, les communautés trans sont fortement investies, comme en témoignent le nombre croissant de publications, de communications et le développement de réseaux internationaux. Par ailleurs, les violences à leur encontre sont dénoncées et les discriminations dont elles-ils font l’objet sont reconnues comme facteur d’exposition au VIH.
La prophylaxie pré-exposition (PrEP), traitement préventif délivré aux personnes fortement exposées au VIH, a été recommandée en 2011 pour les femmes trans par l’Organisation Mondiale de la Santé. En France, elle a été recommandée en 2015 et, pour en renforcer l’accès au sein de cette communauté, des partenariats associations/services hospitaliers ont été mis en place ces dernières années.
Cette journée se tient à l’occasion du lancement d’un programme de recherche opérationnelle fondé sur une collaboration entre associations, services hospitaliers et l’Institut national d’études démographiques, avec le soutien de Sidaction.
Réunissant représentant.e.s d’associations communautaires, soignant.e.s et chercheurs.euses en sciences sociales, elle permettra d’aborder les questions suivantes :
Comment la PrEP prend-elle place dans les programmes de prévention et de dépistage menés en direction des trans les plus exposé.e.s au VIH ?
Quelle place la PrEP occupe-t-elle dans les démarches de prévention des trans ?
Quels facteurs sociaux faut-il prendre en compte pour renforcer les démarches de prévention chez les trans ?
Comment la prévention du VIH et la PrEP sont-elles abordées au sein des associations qui ne sont pas issues de la lutte contre le sida ?
Quelles sont les autres priorités de santé des publics trans ?
Qu’en est-il des enjeux de reconnaissance, de lutte contre les discriminations et les violences ?

Programme :

Inscription :  ICI

Intervenant.e.s

  • Emmanuel BeaubatieInstitut national d’études démographiques
  • Romain Blanchard, Défenseur des droits
  • Michel BourrellyUniversité Aix-Marseille
  • Camille CabralAssociation PASTT
  • Rosemary Delabre, Coalition Plus
  • Frédérique Doumat, Direction Générale de la Santé
  • Marina DuarteUniversité Paris Diderot
  • Karine EspineiraUniversité Paris 8 ; Université de Nice Sophia Antipolis
  • Françoise GilAssociation Le Bus des femmes
  • Olga GonzalezUniversité Paris Diderot
  • Isabelle Grosbois-ColongeAvocate
  • Jules, Association Outrans
  • Xavier MabireUniversité Lyon 2
  • Anaenza MarescaHôpital Ambroise Paré
  • Florence MichardHôpital Bichat – Claude-Bernard
  • Viviane NamasteUniversité Concordia
  • Eve Plenel, Vers Paris sans sida
  • Bertrand Riff, Maison de santé dipersée
  • Giovanna RinconAssociation Acceptess-T
  • Christophe SegouinHôpital Fernand Widal
  • Sufjan ValeroAssociation Acceptess-T
  • Raymond Wofsy, Association Espace Santé Trans

Contact
Vincent Douris, 01 53 26 49 61, v.douris@sidaction.org

Dépliant sur la stratégie « Vers des alpes sans sida en 2030 ».
L’objectif est de l’utiliser lors de rencontres, formations, évennements pour les acteurs plus éloignés de la lutte contre le VIH et les IST mais aussi pour les élus locaux, régionaux etc…
D’ici à la fin de l’année, on espère avoir une charte d’engagement que les élus pourront signer.

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Vers les Alpes sans sida en 2030 683.21 KB 71 downloads

Dépliant sur la stratégie « Vers des alpes sans sida en 2030 ». L’objectif...

Les activités du Comité des familles reprennent en force après l’été. Plusieurs ateliers vous sont proposés, ainsi que du sport, de la culture, et de la convivialité !
Renseignez-vous et inscrivez-vous en nous appelant au 01.40.40.90.25.

Faisons la fête !
Le 21 septembre, venez nombreux à la soirée d’entraide et de convivialité, pour partager et échanger.
Renouvelons ça le samedi 29 septembre pour le repas de l’amitié. Contactez-nous au Comité des familles, pour participer et aussi pour construire ensemble ces rencontres !
Atelier pôle qualité de vie et Education thérapeutique du patient
Vous ne connaissez pas l’ETP ? Venez le découvrir mercredi 19 septembre. Différents ateliers sont à l’affiche ce mois-ci : le 12, le 20 et le 26 septembre.
Appelez-nous pour en savoir plus !
Les assemblées des familles
Tous les jeudis à 19h, ne manquez pas les assemblés des familles, un moment convivial, ouvert à la discussion et au partage.

Toujours au 18 rue de la Mare Paris 75020.
…et beaucoup encore…la chorba, les grandes soeurs, le yoga, la natation…
__________________________
Adhérer au Comité des familles c’est toujours possible ! Renseignements
au 01 40 40 90 25. www.comitedesfamilles.net

Infections sexuellement transmissibles (IST) : Préservatif et dépistage, seuls remparts contre leur recrudescence.

Entre 2012 et 2016, le nombre de nouveaux diagnostics d’infections à Chlamydia et à gonocoque est en augmentation, d’après les résultats de l’enquête LaboIST[1] publiée aujourd’hui par Santé publique France.

Cette enquête permet de réactualiser les indicateurs concernant le diagnostic de ces infections en France et pour la première fois donne des estimations de leur nombre selon le sexe, l’âge et la région. Elle révèle notamment que les jeunes de 15-24 ans restent particulièrement touchés par ces IST, qui sont souvent asymptomatiques mais aux conséquences parfois lourdes. C’est pourquoi Santé publique France lance le 18 juillet une campagne digitale pour promouvoir l’utilisation du préservatif auprès des jeunes. Cette campagne s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de santé sexuelle et de la promotion des outils de prévention.

Les 15-24 ans, population particulièrement touchée par les IST

En 2016, le nombre de personnes diagnostiquées pour une infection à Chlamydia a été estimé à 267 097, soit un taux de 491 pour 100 000 habitants. Une prédominance de l’infection est constatée chez les femmes (592/100 000 versus 380/100 000 chez les hommes). Les jeunes femmes de 15-24 ans sont les plus touchées (2 271/100 000), notamment en Ile-de-France (5 682/100 000 habitants) et dans le Départements d’Outre-mer (1 761/100 000).

Le nombre de personnes diagnostiquées pour une infection à gonocoque en 2016 a été estimé à 49 628. Les hommes sont plus touchés que les femmes sur l’ensemble du territoire (131/100 000 versus 55/100 000), à l’exception des DOM où l’on constate une prédominance des gonococcies chez les femmes. Les 15-24 ans sont là encore les plus concernées par cette IST, quelle que soit la région (181/100 000).

Les données montent que le nombre de diagnostics d’infection à Chlamydia et à gonocoque en 2016 a été multiplié par 3 par rapport aux estimations de l’année 2012. 

« La forte augmentation des diagnostics de ces infections constatée en 2016 peut être due à plusieurs facteurs. Elle peut s’expliquer tout d’abord par une sous-estimation des cas diagnostiqués en 2012 mais aussi par une intensification du dépistage et l’amélioration de la sensibilité des tests utilisés et enfin, par l’augmentation de l’incidence de ces IST elles-mêmes.» précise Florence Lot, responsable de l’unité VIH/sida, hépatites B et C, IST à Santé publique France.

Chez les moins de 25 ans, la prévalence élevée des infections à Chlamydia et à gonocoque est la conséquence  d’un nombre de partenaires plus important couplé à une utilisation non systématique du préservatif.

Le dépistage, un acte simple et efficace

Les infections à Chlamydia et à gonocoque se transmettent lors de rapports sexuels non protégés. Très contagieuses et fréquentes, elles peuvent être silencieuses et entraîner des complications (douleurs pelviennes chroniques, stérilité, fragilisation des muqueuses et augmentation du risque de contamination par le VIH, transmission mère-enfant…).

Le dépistage est l’unique moyen d’établir un diagnostic. Simple et sans douleur, il se fait par prélèvement local chez les femmes, par prélèvement local ou analyse d’urine chez les hommes. En cas de résultat positif, il permet de prescrire un traitement antibiotiques adapté chez la personne ainsi qu’à ses partenaires.

Le dépistage peut être effectué suite à une consultation chez son médecin traitant ou son gynécologue ou un dermatologue-vénérologue qui orientera vers un laboratoire, ou encore gratuitement dans les Centres Gratuits d’information, de Dépistage et de Diagnostic (CeGGID) et les centres de planification ou d’éducation familiale.

Nouvelle campagne : « Un préservatif ça peut te sauver la vie. Gardes-en toujours sur toi »

Le préservatif est avec le dépistage le moyen le plus efficace pour lutter contre les IST.

Pour mieux ancrer l’usage du préservatif dans les habitudes de vie des jeunes, Santé publique France lance une campagne digitale : « Un préservatif ça peut te sauver la vie. Gardes-en toujours sur toi ».

En phase avec leurs codes, cette campagne repose sur le concept du « life hacking », des astuces et des techniques que l’on partage pour faciliter le quotidien, qui sont très répandues sur Internet et très prisées des jeunes. « Le préservatif est le meilleur moyen de protection contre les IST. Mais il n’est pas toujours utilisé de manière systématique. L’enjeu de notre campagne est d’inciter les jeunes à toujours avoir un préservatif sur eux. Il doit être perçu comme un objet protecteur du quotidien » précise Lucile Bluzat, responsable de marketing social Santé sexuelle à Santé publique France

La campagne digitale, du  18 juillet au 17 août met en scène de manière ludique le préservatif en démontrant ses qualités intrinsèques (résistance, imperméabilité…). Le but est de faire de lui l’accessoire indispensable du quotidien. 

La campagne se décline sous forme de :

–  vidéos dans lesquelles les jeunes pourront découvrir en quelles circonstances, autre que l’acte sexuel, le préservatif peut s’avérer utile comme par exemple : allumer un feu, maintenir ses objets aqua phobiques au sec, faire bouillir de l’eau…

– posts créatifs relayant en mode « survie » des messages informatifs sur le préservatif et les infections sexuellement transmissibles. Ces « Life cards » seront postées sur Instagram et Facebook pendant l’été dans l’objectif de faire réagir les jeunes.

L’ensemble de la campagne renvoie vers le site onsexprime.fr, le site dédié à la sexualité des jeunes.

OnSexprime.fr est le site de référence qui accompagne les jeunes vers une sexualité positive et responsable. Il aborde ce sujet de manière globale : prévention des IST, contraception, mais également vie affective, relations amoureuses, corps, violences… Il s’appuie sur les outils interactifs plébiscités par les jeunes (vidéos, modules interactifs, témoignages), utilise les réseaux sociaux (page Facebook animée, chaîne Youtube) et développe ses nouveaux contenus en lien avec les dernières technologies et tendances observées.

Pour visualiser la vidéo : Un préservatif ça peut te sauver la vie. Gardes-en toujours sur toi 

Contacts presse : 

Santé publique France – Vanessa Lemoine : 01 55 12 53 36presse@santepubliquefrance.fr

Stéphanie Champion : 01 41 79 67 48 – Cynthia Bessarion : 01 71 80 15 66 – Matthieu Humez : 01 41 79 69 61

[1] L’enquête LaboIST a été conduite auprès de l’ensemble des laboratoires de biologie médicale privés et publics. Elle a permis de recueillir pour l’année 2016 des données sur le nombre de personnes testées pour une recherche de Chlamydia ou de gonocoque et le nombre de diagnostics positifs par âge et sexe.

Communiqué de presse Saint-Maurice, le 18 juillet 2018