News de WAS 2019 la clinique Condesa, une visite d’une heure de la clinique, centre de santé sexuel global VIH/IST avec prise en charge des personnes transgenre. Clinique financée par la ville et l’État ou tout les soins et médicaments sont gratuits. Plus de détails dans notre prochain document portraits d’acteurs et de structures…

Valérie Le Baut & Marie-Pierre Pietri « Clinical Study Coordinator in COREVIH, evolution of skills towards sexual health » WAS 2019

Sophie Florence « Opening of first sexual health center all public in Paris » WAS 2019 – Congrès mondial de Santé Sexuelle à Mexico

Aujourd’hui sur la WAS 2019 Mexico : les premières vidéos des présentations de notre symposium sont disponibles. Visite aujourd’hui de la clinica Especializada CONDESA, centre de prévention et de prise en charge intégrale du VIH/SIDA.

Dominique Salmon « Missions of COREVIH on HIV, STI and Sexual Healthcare

José Luis Lopez Zaragoza « PrEP, a global approach in Sexual Health »

Sophie Florence « Opening of first sexual health center all public in Paris »

Valérie Le Baut & Marie-Pierre Pietri « Clinical Study Coordinator in COREVIH, evolution of skills towards sexual health » WAS 2019

 

Congrès mondial de Santé Sexuelle à Mexico – WAS 2019 – José Luis Lopez Zaragoza « PrEP, a global approach in Sexual Health »

Congrès mondial de Santé Sexuelle à Mexico – WAS 2019 – Dominique Salmon « Missions of COREVIH on HIV, STI and Sexual Healthcare

 

Après quelques péripéties de transport nous voici tous sur Mexico Posters du COREVIH et du Centre de Santé Sexuelle Paris Centre récupérés hier soir. Ce matin inscription au congrès Cérémonie d’ouverture et direction salle Olmeca pour placer les 3 Posters. Ce soir un dernier point sur la présentation orale du COREVIH et prise de contact avec les acteurs à interviewer pour fixer rendez-vous. Bientôt les premières photos…
Philippe Sagot

5ème Journée Internationale de Santé sexuelle et Droits Humains de la Chaire UNESCO :  Vendredi 13 septembre 2019 de 9H à 17H30Les nouveaux enjeux de l’éducation à la santé sexuelle”

Grand rendez-vous annuel sur le thème “Les nouveaux enjeux de l’éducation à la santé sexuelle pour 2030”. «Enjeux et place de la spiritualité et de l’éthique dans l’éducation à la santé sexuelle»

La satisfaction de la sexualité est l’un des objectifs du bien-être en santé sexuelle, elle associe plaisir et désir. Le plaisir et le désir relient les dimensions physiques, émotionnelles, sociales et mentales. Ces dimensions de l’intime et du privé, qui structurent l’individu, sont aussi directement sous l’influence des politiques sociales et des orientations spirituelles au sens le plus large, des peuples. Les dimensions éducatives, prenant en compte l’environnement, sont au premier plan pour une éducation positive et globale et seront celles que nous aborderons au cours de cette journée.

Les interprétations des religions, des symboles et des mythes restent une base incontournable pour élargir notre vision des aspects spirituels et éthiques dans l’éducation à la santé sexuelle.

L’épidémie du VIH immédiatement associé au sexe, au sang et à la mort, a ouvert un débat également philosophique sur les liens entre santé sexuelle individuelle et santé publique. De même que la persistance des grossesses non désirées pose la question à la fois du désir inconscient de l’enfant et du sens procréatif de l’acte sexuel, la prévention des violences sexuelles et celles faites aux femmes, s’appuient sur une éthique qui nous oblige à mettre en perspective les enjeux de la spiritualité dans l’éducation ainsi que les interactions entre profane et sacré.

Ce colloque abordera 4 thématiques :
1 – L’éducation à la santé sexuelle entre les sphères publiques et privées
2 – Education à la santé sexuelle : une éducation entre profane et sacrée
3 – Ethique et morale : leurs rôles dans l’éducation à la santé sexuelle
4 – Les enjeux de la spiritualité dans l’éducation à la santé sexuelle

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>> Les inscriptions (OBLIGATOIRES) sont au tarif de 60 €. C’est par ICI

Coordonnateurs du cycle de conférences : Joëlle Mignot et Thierry Troussier
Journée animée par Mme Virginie Larousse, Directrice éditoriale du Monde des Religions

Lieu du Colloque :
Ministère des Solidarités et de la Santé
14, avenue Duquesne – 75007 Paris – Salle Laroque

Cette étude de l’ANRS avait pour principal objectif d’évaluer la non-infériorité à 48 semaines d’une stratégie de prise du traitement ARV sur 4 jours consécutifs sur 7 versus une prise en continu 7 jours sur 7 chez des patients en succès virologique sous traitement (CV < 50 copies/mL depuis au moins 4 mois, sans modification du traitement). Il s’agit d’un essai de phase III ouvert, multicentrique, prospectif, randomisé en deux groupes parallèles avec une borne de non-infériorité de 5 %.

La randomisation a été stratifiée selon la famille du 3ème agent en cours au moment de la pré-inclusion (INI, IP, INNTI) et un minimum de 200 participants devait être sous INI pour garantir une puissance suffisante pour évaluer l’efficacité de cette stratégie dans cette population de patients (640 patients prévus, 320 par bras). A partir de S48 et dès confirmation de l’indétectabilité, les patients dans le bras 7/7 en succès virologique intégraient la stratégie d’allègement 4/7.

Les résultats très attendus par les spécialistes français au vu du nombre de centres participants ont été présentés à l’IAS (lien avec zoom du jour). Les caractéristiques des patients à l’inclusion étaient comparables entre les deux bras : 49 ans d’âge moyen, 78,3 % d’origine européenne, 67,1 % d’HSH, 6,9 ans en moyenne de durée de traitement antirétroviral et un nadir de CD4 à 298 cellules/mm3. Plus des deux tiers (72,6 %) recevaient du TDF-TAF/FTC à l’inclusion et le 3e agent était un INI (47,8 %) ou un INNTI (46,5 %), les IP étant très minoritaires (5,7 %). Les résultats sur le critère principal confirment la non infériorité du 4 J/7. Peu d’échecs virologiques : 6 versus 4 dans le bras 7J/7, mais 3 versus 1 chez les patients où le 3e agent était un INI, ce qui ne manquera pas d’alimenter les discussions …

Les autres analyses de sous-groupe ne montrent pas de différence statistiquement significative selon le nadir de CD4, la durée de l’indétectabilité, la notion d’échec virologique antérieur ou de ratio CD4/CD8.

Des analyses complémentaires prévues au protocole de l’étude sont en cours : suivi à long terme (S96) / analyses des marqueurs inflammatoires plasmatiques, intra-cellulaires, cheveux (PK), CV séminale, virémie résiduelle et ADN VIH total, sans oublier la compliance au traitement et les analyses de qualité de vie. Il n’y avait pas de différence significative entre les deux bras sur la tolérance.

Pari gagné donc pour l’étude QUATUOR qui était une des études très attendues à cet IAS mais de nombreuses questions persistent à l’issue de la présentation …

D’après Landman R et al., abstr. WEABO406LB, actualisé

Retrouvez ci-dessous les présentations de la Soirée Post-CROI de l’InterCoreVIH francilien du 11 avril 2019  à télécharger.

5 présentations au format PDF.

A

PREP et IST – Romain PALICH 
Nouveautés Virologiques: Diagnostic, Résistance et Cure  – Constance DELAUGERRE
Traitement Antiretroviral : Quelle nouveauté ? – Yazdan YAZDANPANAH
Comorbidités et Complications – Pierre DE TRUCHIS
Spécificités chez les Femmes – Alicia CASTRO

 

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Soirée Post-CROI de l'InterCoreVIH francilien du 11 avril 2019 11.45 MB 563 downloads

Présentations de la Soirée Post-CROI de l'InterCoreVIH francilien du 11 avril...